Malgré un contexte économique délétère, la valeur nette des avoirs personnels de Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, a dépassé le cap des 100 milliards de dollars. Cette hausse exemplaire est une conséquence naturelle de la hausse des actions de Facebook sur le marché boursier.
Une nouvelle fonctionnalité sur Instagram
L’annonce d’une fonctionnalité de vidéo courte sur Instagram a accéléré l’envolée des actions de Facebook. Cette nouvelle a particulièrement été bien reçue par les investisseurs qui s’attendent à ce que Facebook puisse rivaliser Tik Tok connu pour ses vidéos virales et addictives. Suite à cela, la fortune de Mark Zuckerberg s’est nettement appréciée. Pour rappel, le créateur de Facebook s’est enrichi grâce à sa participation à hauteur de 13 % dans le réseau social.

Mark Zuckerberg figure parmi les patrons des médias sociaux qui valent les 100 milliards de dollars, juste au côté du Jeff Bezos, patron d’Amazon, et Bill Gates, fondateur de Microsoft. Également, le jeune PDG a vu son chiffre d’affaires se multiplier, particulièrement dans un contexte de pandémie mondiale et de mesures de confinement. Les activités en ligne ont en effet connu un essor considérable dans cette période critique.
La richesse des géants de la technologie
Les géants technologiques prennent progressivement une place de choix dans le classement des plus grosses fortunes du monde. Et pour cause, la fortune collective des milliardaires de la technologie n’a cessé de grimper ces dernières années. Force est de constater que ce rythme beaucoup plus soutenu que dans tous les autres secteurs. Cette nouvelle catégorie de riches aurait doublé leur fortune totale depuis 2016, passant de 751 milliards de dollars à 1,4 billion de dollars actuellement.
Sept des dix personnes les plus riches du monde sont issues du secteur technologique, soit un nombre supérieur à ceux du secteur de la Finance. Les cinq plus grandes entreprises technologiques américaines (Apple, Amazon, Alphabet, Facebook et Microsoft) représentent d’ailleurs près de 30 % du produit intérieur brut américain.